lundi 30 avril 2012

Branchée sur le canal “Professeur Cosmique”

Par Lori Ann le 27 Avril 2012

Et maintenant, quelque chose de complètement différent.

Au cours de mes années en tant qu'écrivain, je me suis retrouvée de temps en temps consumée par l'envie de prendre la dictée sous une voix dans ma tête qui ne me ressemble pas du tout. La cadence, le langage et le ton n'étaient pas mon style ironique habituel mélange d’adjectifs éclaboussant et de verbes hautement fébriles. Au lieu de cela, la voix rencontrée dans mon oreille intérieure sonnait un peu comme un professeur sans humour, en mode conférence semi-poétique. Mais j'ai pris des notes parce que le contenu était un matériel curieusement perspicace sur la nature de la conscience et de la réalité, inévitablement fascinant.

dimanche 29 avril 2012

Plongée à Bali

Un monde sous-marin à la fois beau, étrange et fascinant!

(Vous pouvez désactiver les sous titres)

samedi 28 avril 2012

Incompréhensiblement simple

Dans le calme, la beauté d'être assis près d'un lac, l'expérience est incompréhensible.

Mettre des mots dessus est toujours un acte après-coup.

L'esprit est si calme qu'il ne sait rien de tout ce qui est expérimenté.

Nommer ce qui est vécu, "les canards qui nagent sur la surface calme de l'étang, créant des ronds parfaits qui disparaissent parfaitement", est de trop.

Nommer quoi que ce soit par son nom semble de trop, et pourtant les mots surgissent parfois. Les mots flottent tranquillement, à travers le calme de la présence, sans aucune répercussion.

vendredi 27 avril 2012

Notre véritable identité

 
S'éveiller veut dire réaliser notre vraie nature.  La vraie nature du soi, de la vie et de la réalité sont une seule et même essence.  C'est l'essence intemporelle, bienveillante et omniprésente qui constitue tout ce qui est, qu'on l'appelle «Être, pure conscience, présence vacuité ou amour».

Cette pure conscience est notre véritable identité.  Elle est toujours présente et nous accompagne tout au long de notre vie, que l'on en soit conscient ou non.

Elle est la base de la réalité dans laquelle apparaissent toutes nos perceptions.  Elle est ce que nous sommes au plus intime de nous-même et que nous partageons avec tout ce qui existe : une fleur, une étoile mais aussi une chaise et un radiateur.  Sa réalisation ne rend donc certainement pas « spécial ».  Au contraire, elle ôte cette impression d'être un individu spécial ou séparé au sein de l'univers. 

jeudi 26 avril 2012

Les armes de distraction massive nous éloignent-elles de la paix intérieure?

L'autre jour, j'observais ma fille de 12 ans parler pendant des heures au téléphone à propos d’un coup de cœur pour un garçon, regarder son image dans le miroir de la salle de bain et travailler intensément sur un projet scolaire pour obtenir une nouvelle bonne note. Elle était occupée à poursuivre trois armes de distraction massive, des préoccupations visant à maintenir sa recherche du bonheur dehors. Quand elle grandira ces préoccupations se transformeront sans doute en leurs versions pour adultes, la recherche de l'amour romantique, l'entretien de la beauté physique et la poursuite d’une carrière réussie. Et, au fil du temps, si elle est comme les créatifs plus instruits, elle sera susceptibles de développer une quatrième préoccupation, la quête de plénitude.

Ainsi, dans l’idée d’offrir quelques points à regarder, voici quatre voies de distraction qui promettent le bien-être mais se terminent en souffrance.

mercredi 25 avril 2012

Rien à vendre

Le Secret Ouvert ne peut que pointer vers la simple merveille d’être et seulement chercher à mettre en lumière la futilité de déployer tout effort en ce sens. Il n’accepte ni ne rejette les enseignements de voies ou de processus spirituels, mais il dévoilera sans compromission le malentendu singulier et fondamental sur lequel se fonde la croyance qu’il existe quelque chose nommé un chercheur qui a besoin de trouver quelque chose d’autre, appelé illumination.

Le Secret Ouvert ne fait pas de compromis avec les besoins et les attentes du chercheur. Pas plus qu’il ne tente d’attirer ou de séduire avec les promesses d’une expérience de libération facile et agréable. Qui pourrait promettre cela et qui en ferait l’expérience ?

Parce que l’idée d’un libre-arbitre et d’un choix individuels est considérée comme un rêve illusoire, il n’est aucun projet, aucune intention visant à aider ou à changer l’individualité. Pour ce qui concerne l’individu apparent, il n’y a ici rien à vendre. 

mardi 24 avril 2012

La maturité du regard

Au début de notre séjour sur terre, nous ne savons rien de rien. Tout baigne dans une ouate un peu confuse: notre regard ne discerne pas, notre mémoire est plutôt vide. Nos yeux ne distinguent pas encore les formes physiques; durant leurs premiers jours opérationnels, ils ne perçoivent que de la lumière. Mais bientôt des contours apparaissent, que la mémoire apprend vite à reconnaître. Nous commençons à distinguer. Ainsi en est-il avec tous les instruments de perception, qui se fixent sur la différence, le changement. L'œil détecte avant tout le mouvement par rapport à l'arrière-plan statique. Notre oreille perçoit aisément un nouveau son ou sa cessation, plus qu'elle n'enregistre un son ou un silence continu. Il en va ainsi de tous nos sens. Notre attention distingue d'abord et avant tout la différence, la forme qui se démarque de l'arrière-plan.

lundi 23 avril 2012

Fondamentalement, pas de moi

Alors ... qui est-ce qui s’éveille? S’il n'y a pas de soi, pas de je ou moi, et que quelque chose est évidemment toujours conscient et éveillé, qu’est-ce que c’est? Qu’est-ce qui est éveillé?

Tout d'abord, une description. Deux expériences de non existence du soi personnel se sont produites ici. La première et la plus puissante est celle qui se produit dans les éveils explosifs : Il y a un espace vide choquant, manquant profondément à toute chose là où le “je” était auparavant “expérimenté”, où il était habituellement sensé être “situé”. La vacuité de cela est si évidente que, quand elle est vue, il est absurde d'imaginer que quoi que ce soit fût jamais là. L’ancienne croyance en un “moi” distinct devient ridicule, et beaucoup d’éclats de rire s'ensuivent.

La deuxième façon dont l’absence de soi est expérimenté est la plus durable des deux. Il s'agit d'une blancheur tranquille là où le soi a l'habitude d'être, et ceci est  l'expérience habituelle. Les éveils volcaniques ont leur place au soleil, pour être sûr, puis ils disparaissent, laissant un résidu de conscience plus profonde, de croyance disparue, et une connaissance plus tangible. C'est là que réside le cœur de la question, la vie quotidienne comme quelque chose d'entièrement nouveau et glorieusement déchargé d'exigence, d'insécurité, du petit moi isolé.

samedi 21 avril 2012

La fin de la discussion


Le même rêve de vivre revenait de vie en vie,
maintenant ainsi l’illusion du temps.
Et là, je vois pour la première fois!
Mon champ de vision est un miroir
au grand complet!

Je suis immobile. J’ouvre les yeux, je vois.
Je regarde le reflet dans le miroir. Mon monde se déroule sous mes yeux.
Les murs blancs, les jolis tableaux, la maison, les fleurs coupées et savamment regroupées dans un vase de cristal. Je vois les petites ouvertures dans le mur, qui me laissent entrevoir une lumière qui me semble moins artificielle : l’extérieur avec le sol humide en dessous, le ciel sans fin au-dessus.
Je vois des oiseaux noirs qui volent en groupe sur un écran pourpre rempli de nuages aux mille formes mouvantes.

Je vois des personnages qui me parlent et à qui je parle.
J’entends un bruit répétitif : le téléphone sonne. « Veux-tu venir souper avec moi? Je ne me sens pas bien.» Un ami veut parler de sa solitude après une rupture amoureuse.
C’est moi partout : ma recherche de stabilité, mon désir de voir la beauté, mon inconfort dans mes relations.

vendredi 20 avril 2012

S’identifier à la conscience pure

S’identifier à la conscience pure n’est pas tricher. Ce n’est pas une dérobade spirituelle, ce n’est pas revendiquer quelque chose que vous n’avez pas gagné. C’est plutôt comme pénétrer le salon de votre maison. Il y a de nombreux indicateurs qui confirment votre identification à la conscience pure. Et s’il vous arrive de tomber amoureux de la conscience pure, vous trouverez encore davantage de confirmation.

De manière étonnante, une confirmation vient par le langage! C’est très étonnant parce que le langage est souvent considéré comme un obstacle à l’expérience de la vérité. Mais quand vous êtes identifié à la conscience pure, le langage se transforme en fait en une confirmation de votre identification.

jeudi 19 avril 2012

Raté, jusqu’à ce qu'il ne le soit plus

Écrit récemment à un ami:

"On voit donc clairement que le Un est partout, tout le temps! La semaine dernière, il y eût une fabuleuse expérience de l'Absolu comme la totalité de ce qui est «ici». Et tant de rires et de larmes face à l'évidence de Cela se cachant en pleine vue! Oh quelle joie! Comment peut-il ne pas être vu?

Comment peut-on le rater? C'est tellement partout! Et même maintenant, alors que l'expérience directe est fanée, il y a la joie et la connaissance de la réalité de Cela ici, partout, tout le temps. Un tel confort et un tel amour ... "

En effet! Comment cela peut il être raté? Qui peut dire, si ce n’est que quand ce sera le moment d’être vu, il le sera. Désormais de plus en plus d’entre  «nous» pénètrent en cela. Voyant et sachant que Cela, l'Absolu, est présent et manifesté, en tout temps et en tous lieux.

C'est la réalité, venant près de «vous».

Ou peut-être y étant déjà.

Regardez donc.

Lisa Katleen 

Page originale traduite par Christine – Vous êtes invités à partager ce texte à condition de respecter son intégralité et d'en citer la source: http://du-tout-et-du-rien.blogspot.com/

mardi 17 avril 2012

Mon Amant, ma Muse

Par Lori Ann le 15 avril 2012

Je me souviens d'une époque où m'asseoir pour écrire était une corvée. Peu importait que j’ai choisi cette profession et que j’ai passé des années à affiner avec zèle des phrases convaincantes pour les journaux et les magazines. Ou que j'ai eu plusieurs ouvrages non publiés d'amour-haine, des manuscrits qui m’avaient, à un moment donné, entraînée dans une sorte de fièvre créative. Tout cela avait la saveur d’un marathon, une sorte d'engagement graveleux à voir quelque chose par le biais d'une ligne d'arrivée punitive.

Puis un jour, il y a six mois, ma relation à l'écriture a changé. Maintenant, sans prévenir, je suis devenue une sprinteuse, une muse conduisant le char du maniement des mots, une langue de pute glorieuse et le consort d’un démon qui-dit-tout, un besoin de confession urgent qui insiste pour être intimement public dans des blogs, des livres et des émissions de radio. Si j’avais su que l'illumination signifiait inviter le monde dans tous les coins et recoins de mon cœur, j'aurais peut-être hésité. À l'heure actuelle, c'est un peu trop tard pour dire non merci à la rivière journalistique qui coule à travers moi, cela reviendrait à ériger une digue de castor pour ralentir les chutes Niagara.

lundi 16 avril 2012

Guérir l'esprit, Déclencher l'éveil spirituel

 
QUESTION 1: Dans votre livre, vous dites que pour travailler à la guérison, il faut développer une intention aimante. Comment cela se produit-il?
RM : La clé pour travailler comme guérisseur, ou pour œuvrer à sa propre guérison, est d'être capable de s'ouvrir à une vision plus large de la vie dans sa totalité. La maladie nous rend craintifs, nous nous contractons, nous nous sentons plus isolés. Ce sentiment de séparation nous affaiblit, notre niveau d'énergie baisse et nous avons moins de force de vie pour asseoir notre état de santé naturel. Le fait de se sentir relié à quelque chose de plus grand et de plus complet (que le soi séparé), ne serait-ce que pour un instant, peut être une profonde source de guérison. Nous pouvons apprendre à nous ouvrir à un espace plus grand par la prière, la méditation et la relaxation profonde. Le simple fait d'apprécier la musique ou de parler gentiment à quelqu'un d'autre nous aide à guérir, car si nous voulons être heureux et en bonne santé, nous devons aider les autres à l'être également. Il est important de se rappeler que, si notre corps nous appartient effectivement, il n'est pas nous.

Ni ceci ni cela


Nous ne sommes pas ce que nous pensons être, ni ce que nous pensons que les choses sont, ni ce que nous pensons que les gens sont, ni ce que nous pensons de ce que les gens peuvent penser, de nous ou du reste...
Rien de tout cela!...
Nous ne sommes pas ce que nous pensons!
Avant toute pensée, connaissons nous en tant qu'Être.

Cela, c'est Libre.

La partie est déjà jouée. Nous sommes Ici, nul besoin d'ailleurs.

dimanche 15 avril 2012

Le silence – Adyashanti

Adyashanti–Le silence
(Pour activer les sous-titres, n'oubliez pas de sélectionner cc)

samedi 14 avril 2012

Tout effort est violence

A moins d'être libéré du désir, de tous les désirs : moksha, libération, réalisation de soi, vous serez misérable. L'objectif suprême que la société nous a désigné est précisément celui qui doit disparaître. Faute d'être libéré de ce désir-là, vous ne pourrez pas vous délivrer de vos misères. Cette réalisation-là est essentielle, elle va droit au nœud du problème. C'est la société qui a établi cette priorité. C'est de ce désir de libération qu'il faut vous libérer. Tous les autres désirs retrouveront alors leur rythme naturel. Vous les supprimez soit par crainte des sanctions sociales soit parce que vous les considérez comme des ”obstacles ” à votre désir majeur – la libération.

vendredi 13 avril 2012

Calmer l'étang

Étang Burgseeli
Imaginez un homme assis au bord d'un étang immobile, admirant le calme, la sérénité, les reflets dans l'eau; savourant vraiment cet état apparent.

Maintenant, supposons qu’à un instant un bateau croise à 50 mètres de la rive provoquant des ondes qui naissent, se dirigeant vers l'homme et troublant la tranquillité de l'eau. L'homme s'énerve à la vue de ces vagues, à tel point qu'il saute dans l'eau et tente d’arrêter les vagues de ses mains. Il essaie de les repousser et de les briser. Il essaie même de les retenir afin qu’elles n’atteignent pas le rivage. Au bout d’un certain temps, il verra que les vagues n’arrivent plus et il arrêtera de stopper les vagues pour revenir s’asseoir sur le rivage quand il sentira l'eau redevenue assez calme.

jeudi 12 avril 2012

Instant de Présence

 
Hier a-t-il encore aujourd’hui quelque consistance?  Son souvenir ou ce qu’il en reste n’est-il pas juste une réminiscence quelconque, comme celle que laisse un rêve?  Qu’elle est sa valeur si ce n’est l’importance sélective que la mémoire y accorde, le plus souvent en terme de bien ou mal?  Que dire à propos de demain sinon qu’il soit une projection basée sur ce même hier, à savoir le désir espéré d’un bonheur qu’on a pas su y trouver ou la peur de passer une fois de plus à côté?

Ressasser le passé, si ce n’est s’en tourmenter et le regretter, ou s’inquiéter du futur a-t-il pourtant déjà apporté un bienfait réel et durable?  Ce tourner-en-rond  entre hier et demain mène-t-il quelque part ou fait-il en sorte que les jours qui se suivent ainsi se ressemblent fondamentalement tous?  Si demain est aussi flou qu’hier, pourquoi alors persister à s’en préoccuper?  Et si la conscience du passé était superflue, lequel induit par ailleurs l’échafaudage d’un futur fantaisiste, et nous distrayait, en quelque sorte exprès, de l’Essentiel de la Vie?  Ne serait-il pas Sage alors de considérer le Présent, chaque Instant?  Lorsqu’on s’en approche justement, pourquoi doutes et peurs se faufilent et s’immiscent à la pensée si ce n’est prétexte pour empêcher de le Vivre?

mercredi 11 avril 2012

Tel-Que-Vous-Êtes

 
Il existe différents niveaux d'éveil. Il est rare que quelqu'un «se secoue» simplement  hors du rêve sans quelques morceaux résiduels de l'ego laissés pour compte. Dernièrement, ma conscience est allée se concentrer sur un morceau auquel beaucoup tiennent, même sans le savoir. La part de moi qui dit, "vous ne devriez pas être ainsi" ou "vous ne devriez pas agir de cette façon". Vous pouvez voir cela partout. Cela fait partie de ce qui crée le drame humain.

La vraie liberté ne peut arriver tant que vous ne donnez pas aux autres la liberté d'être qui ils sont. Laissez leur la place. Acceptez-les pour ce qu'ils sont. Si vous ne leur permettez pas d'être qui ils sont il y a une résistance à ce qui est. 

mardi 10 avril 2012

Pas en prison

Dans le livre de Douglas Harding Le Procès de L'Homme Qui Disait qu'il était Dieu, le héros est emprisonné et jugé pour blasphème, à une époque où le blasphème est un crime capital. A tous ses accusateurs, l'accusé apparaît évidemment comme un simple être humain qui prétend à tort être Dieu.
Mais l'accusé fait remarquer que lorsqu'il porte son attention sur ce qu'il est pour lui-même - en tant que Première Personne du Singulier du Présent - il n'est pas un homme. Il est Dieu.

lundi 9 avril 2012

Bulles

Une délicieuse façon de faire des ronds dans l’eau ou de coincer la bulle!


dimanche 8 avril 2012

La vie n'a pas besoin d'être pensée

-Cette joie, c’est joie, et silence, et vie, toujours ? Ce sont ses qualités de base ? Elle est joie sans contraire… même si une tristesse la traverse ?
-Oui, parce même dans les moment les plus difficiles à vivre, une grippe, un inconfort, un deuil, te sentir aussi profondément bien tout en percevant l’inconfort, les vagues de chagrin ou autre, ça te fait rire intérieurement : c’est incroyable de vivre ça, de sentir que ça ne t’atteint pas plus que ça !...
C’est une légèreté, vraiment. C’est une intensité, une simplicité qui te permet d’avoir cette neutralité. C’est ça la joie. Tu te sens… et c’est neutre. C’est intense, mais c’est neutre. Tu ne peux ni te dire heureuse ni te dire malheureuse. Tu es morte psychologiquement et, en même temps, tu sens ce que tu n’as jamais senti de toute ta vie. Il y a le senti du cœur qui bat, du sang dans les veines, d’une pulsation dans les doigts de pieds… Les perceptions organiques sont affinées des millions de fois et elles sont présentes en permanence, en même temps que les variations énergétiques… Alors tu te sens… vivante. Vivante comme jamais.
Ce qui m’étonne, c’est comment le corps peut se développer seul, s’ouvrir à ces sensations de plus en plus fines, de plus en plus fortes. Avec le temps, une subtilité grandissante se fait jour en lui. C’est extraordinaire, cette capacité de découvrir tout ça. C’est la plus belle chose qui soit. Rien d’extérieur ne le vaut. Comment ne pas en tomber amoureuse ?!...
Mais ce qu’il y a de plus beau quand même, c’est la vision de ce silence intérieur. Et c’est ce qui permet de vivre pleinement toutes ces choses.

samedi 7 avril 2012

Thrive

Que faut-il sur Terre pour prospérer?

Ce documentaire de plus de 2 heures lève le voile sur ce qui se passe dans ce Monde.
Les remèdes à ces conditionnements? Commençons par tisser des liens entre la véritable Science, la Conscience… car NOUS sommes la Solution… 

THRIVE version française
Réalisé par Steve Gagné & Kimberly Carter Gamble et présenté par Foster Gamble
Page originale

vendredi 6 avril 2012

Combien il est difficile pour le riche

Cher ami, peut-être as-tu déjà entendu les mots ci-dessus. Ce sont des paroles censées provenir de Yeshua, fils de Joseph, un grand maître qui errait dans les villes et villages du Moyen-Orient il y a 2000 ans. Tu le connais peut-être mieux en tant que Jésus. Je ne porte pas là de jugement sur qui est ou a été cette personne . Je ne fais que répéter l’enseignement remarquable de cet homme disant: “Combien il est difficile pour le riche d'entrer dans le royaume des cieux" Il est aussi connu pour avoir dit: “Le royaume des cieux est en vous”.

Si cet homme n'avait pas prononcé d’autres mots ou idées, ces deux simples phrases auraient suffi. Elles suffisent à te montrer où est la porte de la liberté. A l'intérieur de toi et moi, dans nos esprits, dans notre cerveau même, se trouve la capacité d'être libre: la liberté de tous les mensonges, la liberté de la souffrance, la liberté de la peur, tout comme la liberté de toutes les pensées. Yeshua l’a appelée le royaume des cieux; termes de la culture d’il y a 2000 ans, à l’âge de l’Empire, de l'esclavage et de la domination. Yeshua parlait à un peuple enchaîné par ses propres peurs, angoisses et désirs et par l'occupation romaine. Je t'offre ce même royaume de paix dont il parlait, pour toi maintenant  le même Pur Silence. Qui est en toi à tout moment. Qui est doux, affectueux, compréhensif, ordonné et rempli de sa propre tranquillité : la prise de conscience de ton vrai Soi, dans le silence, qui est sans entrave et entièrement libre.

jeudi 5 avril 2012

Pendant ce temps

Gandha - Les perles de l'âme
Les hommes courent après le plaisir et étreignent fiévreusement cette épouse brûlante sur leur cœur tourmenté ; pendant ce temps, une félicité divine et impeccable se tient derrière eux, attendant d'être vue, réclamée et capturée.

Les hommes sont à la chasse de petits succès et de maîtrises futiles d'où ils retombent épuisés et affaiblis ; pendant ce temps, toute la force infinie de Dieu dans l'univers attend en vain de se mettre à leur disposition.

Les hommes déterrent de petits détails de connaissance et les combinent en systèmes de pensée limités et éphémères ; pendant ce temps, toute la sagesse infinie rit au-dessus de leurs têtes et ouvre large la gloire de ses ailes irisées.

Les hommes cherchent laborieusement à satisfaire et à combler ce petit être limité fait d'impressions mentales qu'ils ont groupé autour d'un ego misérable et rampant ; pendant ce temps, l'Âme hors de l'espace et du temps se voit refuser sa manifestation joyeuse et splendide.

Sri Aurobindo

Page originale

mardi 3 avril 2012

Plier la cuillère Réalité

Par Lori Ann le 30 Mars 2012

J'avais neuf ans quand mon premier miracle est arrivé. C'était en Juin et une excursion scolaire au zoo était sur le point d'être annulée vu le temps semblable à la mousson. La pluie torrentielle devait se poursuivre une bonne partie de la journée suivante. J'étais impatiente de faire cette sortie depuis des semaines et, comme tout bon Bélier, je ne comptais pas prendre ce temps pourri à rester allongée. A la maison, pendant le déjeuner, je me dirigeai vers la salle de séjour, joignis mes mains, me mis à genoux et chuchotais: "Cher Dieu, s'il vous plaît, arrêtez la pluie."

dimanche 1 avril 2012

Nous vous aimons - Message d’un israélien aux iraniens



Salut, mon prénom est Ronny, j'ai 41 ans, je suis père et professeur designer graphique. Je suis un citoyen Israélien et j'ai besoin de ton aide.

Récemment nous avons entendus aux informations qu'une grande guerre est proche.

Le gouvernement parle de destruction et d'autodéfense.
Cette guerre n'a rien à voir avec nous.

Le 15 mars j'ai posté un poster sur Facebook. Le message était simple:"Nous n'allons pas bombarder votre pays. Iraniens nous vous aimons" et avec le poster, j'ai écris quelques mots:

Merveilleuse nature


La beauté de la pollinisation